15.11.2025 Cédric Balcon-Hermand 22 Views 0 Comments

Kenya: deux militants témoignent après 38 jours de détention secrète en Ouganda

Deux défenseurs kényans décrivent 38 jours de détention au secret en Ouganda. Vigilance pour ONG et déplacements entre Nairobi et Kampala.

Alerte : Aucune confirmation indépendante n’a pu être obtenue à partir de sources fiables. Cette information est à considérer avec prudence.

Bob Njagi et Nicholas Oyoo ont parlé le 12 novembre, à Nairobi. Ils racontent leur enlèvement à Kampala, début octobre. Membres du mouvement Free Kenya, ils disent avoir été détenus au secret 38 jours. Ils ont été libérés fin de semaine dernière et décrivent leur expérience.

Ce qu’il faut savoir

Le fait : Deux militants kényans témoignent après une détention secrète en Ouganda, consécutive à un enlèvement à Kampala.
Qui est concerné : Bob Njagi et Nicholas Oyoo, mouvement Free Kenya; leurs proches et organisations de défense des droits.
Quand : Conférence de presse le 12 novembre; enlèvement début octobre; détention de 38 jours; libération fin de semaine dernière.
Où : Nairobi (conférence); Kampala, Ouganda (enlèvement); Kenya et Ouganda.

Chiffres clés

38 jours — durée de la détention au secret.
2 défenseurs — nombre de personnes concernées par ce témoignage.

Concrètement, pour vous

Ce qui change : Aucune mesure officielle annoncée dans la source.
Démarches utiles : Si vous voyagez pour des activités civiques, informez votre organisation et vos proches; planifiez vos déplacements.
Risques si vous n’agissez pas : Exposition accrue à des risques sécuritaires lors d’activités militantes transfrontalières.
Exceptions : Non précisées.

Contexte

Les deux défenseurs kényans affirment avoir été enlevés à Kampala, début octobre. Ils participaient à la campagne présidentielle de l’opposant ougandais Bobi Wine. Après 38 jours de détention au secret, ils ont été libérés fin de semaine dernière. Ils ont livré leur témoignage lors d’une conférence de presse à Nairobi, le 12 novembre.

Ce qui reste à préciser

L’identité des auteurs de l’enlèvement et des conditions exactes de détention.
Les suites éventuelles: plaintes, enquêtes officielles ou accompagnement juridique.